Vusamazulu Credo Mutwa est un des derniers chamans du peuple zoulou . Né le 21 juillet 1921. Il transmet ses connaissances et ses «visions» à la civilisation actuelle pour nous mettre en garde contre notre aveuglement aux véritables enjeux de notre époque et à la véritable nature de notre expérience sur terre.
Vusamazulu Credo Mutwa est un un Sangoma (Medecine-Man) d’Afrique du Sud.
Il est l’historien officiel de la nation Zulu.
Chaman de renommée mondiale et expert de premier plan, il a travaillé sur l’histoire occulte de l’Afrique.
Artiste, poète et sculpteur, Credo Mutwa est devenu un auteur célèbre et a remporté de nombreux prix pour ses travaux sur les spiritualités anciennes.
Les anciens chamans disent bien ceci du Baguenaudier (suderlandia fructosa):
Elle est «Pethora», «celle qui change» le développement de la maladie,
Elle est «Motlepelo», «celle qui ramène le cœur à la vie»,
Elle est « Insiswa», «celle qui disperse l’obscurité».
Credo Mutwa: « Je souhaite lancer un appel au monde. Tout d’abord, je ne suis ni un charlatan, ni un sensationnaliste. Je suis un vieil homme qui a vu beaucoup de choses. Je souhaite que le monde sache qu’un petit rayon d’espoir émane d’Afrique du Sud.
C’est une plante qui est presque sur le point de disparaître, une plante qui s’appelle « Suderlandia Fructosa ». Cette plante fait des miracles sur les gens qui ont cette terrible maladie appellée Sida. Et elle est si miraculeuse que les miracles se produisent en une semaine ou quinze jours. Une personne qui était couchée, sur le point de mourir, à qui l’on donne cette plante, se lève et a plus d’énergie et retrouve l’appétit, et elle est libérée de la dépression. Et je ressens une urgence nationale, une urgence mondiale, parce que les grands scientifiques n’ont pas produit un traitement sûr et valable pour le Sida. Je dis que cette plante devrait être plantée par tous les gouvernements bienveillants, par toutes les organisations bienveillantes, et qu’elle devrait être donnée aux êtres humains gratuitement.
Steve: « Absolument. Vous savez, ce qui serait important Credo, c’est que les gens comprennent ce qu’il faut faire avec cette plante ».
Credo Mutwa: « Ils n’ont rien à faire, Monsieur, vous allez trouver ça drôle. Vous mettez la plante en terre, d’accord, mais après, vous prenez ses petites feuilles et vous les mettez dans une tasse à thé, et vous verser de l’eau bouillante dessus. Et après vous laissez la tasse ici, comme du thé vous savez, et vous le buvez simplement, le patient boit simplement. »
Steve: « Les feuilles et la fleur rouge? »
Credo Mutwa: « Oui. »
Steve: « Vous les mélangez? Faut-il les sécher d’abord? »
Credo Mutwa: « Non, vous pouvez les prendre directement du jardin, parce que si vous les séchez trop, elles perdent une partie de leur bon esprit. C’est tout ce qu’il y a à faire. Maintenant, il y a de bons docteurs avec qui je travaille qui sont en train de faire des pilules avec cette plante. Mais vous savez monsieur, je sens que nous sommes face à une urgence nationale, à une urgence mondiale.
Vous savez monsieur, ce que je dis, c’est ceci : je ne peux guérir les gens de l’Afrique sans guérir aussi les gens des Caraïbes, parce que le Sida se répand tout autour du monde. Si je soigne les gens ici et qu’ils aillent mieux, le Sida viendra et mangera les mêmes personnes que j’ai essayé de guérir. Alors, le monde entier doit être guéri… (Dites, peut-on dire ceci? Personne ne va nous arrêter ou nous faire quelque chose?)
Steve: « Euh oui, je veux dire que ce n’est pas contre la loi de dire ceci, c’est notre droit de parler. »
Credo Mutwa: « Merci monsieur. Je vais vous dire pourquoi. A l’origine, la plante de « Suderlandia » était tout autour de l’Afrique. Et je vais vous dire ce qui s’est passé. Il y avait un drôle de petit oiseau brun-gris, qui se nourrissait de « Suderlandia », et cet oiseau était très comestible. Et les gens qui souffraient de la faim les tuaient avec des lance-pierres. Maintenant, cet oiseau a pratiquement disparu. Et maintenant… alors, la terre ici est difficile à cultiver.
Steve: « Les graines ne sont plus répandues.
Credo: « Oui, oui. Ce qu’il y a, c’est que vous avez besoin de prendre un papier de verre très fin et de le passer sur chaque graine. Les graines sont très petites, plus petites que des pépins de raisin. Et il faut passer chaque graine au papier de verre, puis la planter dans un petit pot. Et vous la laisser grandir jusqu’à ce qu’elle atteigne 8 ou 10 cms. Alors vous la prenez et vous la plantez dans une grande prairie. Et là, elle pousse, simplement. Des fermiers ont déjà entrepris de la cultiver, mais ils sont si peu. Il s’agit d’une urgence mondiale et nous ne devons pas être égoïstes.
Ces dernières années, il y a eu beaucoup de déclarations faites par des gens à propos de plantes ou d’herbes dont ils disaient qu’elles étaient bénéfiques pour combattre le sida. Les preuves ont été faites que certaines de ces déclarations étaient fausses, ou, dans le meilleur des cas, exagérées. Mais en Afrique du Sud, il y a une plante qui est sur le point de s’éteindre. Cette plante est appellée par les gens blancs « Suderlandia Fructosate », en Anglais. Cette plante est aussi appellée par les Afrikaans ‘kanterbos’, qui veut dire buisson à cancer, ou ‘kalkoenbos’, qui veut dire buisson à la dinde. Cette plante était connue depuis des milliers d’années en Afrique du Sud et dans d’autres parties de l’Afrique Sub-Saharienne.
C’était un anti-dépresseur, un stimulant de l’appétit, et c’était aussi un stimulant spectaculaire du système immunitaire humain. Pendant de nombreuses années, le peuple Africain, et le peuple Xhoi-xhoi, et le peuple Xhoi-san et aussi le peuple Bantou, ont utilisé cette plante pour combattre le cancer, et elle était très efficace, et elle l’est encore. Et ils l’utilisent aussi pour combattre des maladies comme la tuberculose, avant qu’il n’y ait la streptomycine et d’autres drogues pour la tuberculose. Dans les anciens jours, quand des maladies vénériennes comme la gonorrhée, la syphillis et d’autres étaient aussi incurables que le Sida l’est aujourd’hui, notre peuple utilisait cette plante pour les combattre. S’ils n’avaient pas eu cette plante, le peuple noir de l’Afrique Australe aurait été détruit, comme les Aborigènes Australiens ont été détruits, et comme d’autres races Aborigènes ailleurs dans le monde se sont éteintes, à cause des maladies apportées d’Europe.
Maintenant, nous avons trouvé… moi et un groupe de docteurs, Dr Nijel Gerica, Dr Ben van Wyk, Dr Albreght, Dr Mayeng. Nous avons étudié cette plante et nous avons vu qu’elle avait un impact spectaculaire en créant une meilleure qualité de vie. Des gens qui ont un Sida déclaré, des gens qui ont été renvoyés chez eux pour y mourir… Non seulement nous avons, nous cinq, utiliser la plante pour aider beaucoup de gens à avoir une meilleure qualité de vie en l’espace d’une semaine ou quinze jours, mais il y a une dame, à l’hôpital de Zululand, une dame blanche, qui a sauvé beaucoup, beaucoup de gens condamnés à mourir du Sida dans cet hôpital. Et puis il y a aussi mon élève, Virginia Ratele, qui a sauvé beaucoup de gens qui étaient condamnés à mourir du Sida. Elle a fait ceci dans son village tribal, près de la ville de Kuruman.
Maintenant, il se passe quelque chose de très étrange. Virginia et moi, nous habitons dans les montagnes de Magaliesberg, et nous sommes menacés et terrorisés par des hommes blancs qui sont très professionnels dans leur façon de faire. Ils sont capables de neutraliser les lumières et les alarmes de sécurité dont la maison est équipée. Ils sont capables de rentrer par des portes alors même que nous avons placé des mécanismes dans les serrures pour les empêcher de le faire. Ce ne sont pas des voleurs ordinaires. Ce sont des professionnels qui savent exactement ce qu’ils font.
Je pense que toute l’humanité est confrontée à cette urgence, et que toute avidité et égoïsme devraient être balayés, et cette plante devrait être mise à la disposition de toutes les nations du monde. A la façon dont cette plante pousse, je sais qu’elle peut pousser à Nazareth, aux Etats-Unis, en Inde, en Chine et dans d’autres endroits où sévit le Sida. Je ne déclare pas que cette plante, aussi spectaculaires que soient les résultats, soit le remède pour guérir le Sida. Je dis qu’elle arrête sa progression, et qu’elle doit être utilisée par toute l’espèce humaine afin de stopper l’épidémie du Sida. Jusqu’au jour où les scientifiques auront trouvé un véritable remède qui ne soit pas du tout toxique. J’affirme que cette plante ‘Suderlandia’ n’est pas du tout toxique. Elle était même utilisée par des gens comme le Président Paul Kruger de la République Sud-Africaine, à la fin du 19 ème siècle. Et Paul Kruger a vécu très vieux, et une fois, il a envoyé de la ‘Suderlandia’ pour sauver la vie d’un Prince Allemand qui avait le cancer de la gorge. Mais le bateau qui venait du Mozambique est arrivé trop tard pour sauver le prince.
Je dis que les Nations Unies devraient entreprendre de faire pousser cette plante parce que nous sommes face à une urgence mondiale. Nous sommes confrontés à une maladie qui dévaste toute l’espèce humaine sans réfléchir. Et nous devons arrêter le Sida non seulement en Afrique, mais dans d’autres parties du monde aussi. Cette maladie doit être arrêtée. Ce n’est pas une maladie naturelle. Je me suis occupé du Sida ces cinq dernières années, et maintenant, moi, Credo Mutwa, je crois fermement que cette maladie a été créée par l’homme. La façon dont elle se comporte dans le corps humain ne ressemble à aucune des autres maladies créées par Dieu. Le Sida montre une intelligence satanique, et je lance un appel à tous les peuples du monde: il y a en Afrique du Sud une petite lueur d’espoir, qui est cependant sur le point de s’éteindre à cause de l’avidité, de l’égoïsme, et de la lâche dissimulation. Je dis que cette plante appartient à toute l’humanité. Elle appartient aux petits enfants qui meurent du Sida; elle appartient aux femmes et aux hommes ravagés par cette maladie. Et je crois fermement que des scientifiques pourront créer un médicament qui guérit le Sida à partir de cette plante. Et je lance cet appel au monde entier pour toute l’humanité. Notre gouvernement ne semble pas être capable de faire le premier pas, d’avoir cette plante semée partout en Afrique du Sud comme un cas d’urgence nationale.
Un plant de ‘Suderlandia’ est capable de traiter 10 personnes, et nous avons besoin de beaucoup de plantations. Et je dis que cette plante ne devrait pas être le jouet d’un businessman avide. Il ne devrait pas être le jouet des voleurs des organisations pharmaceutiques qui pillent les trésors de l’Afrique, les enferment dans leurs ordinateurs et les appellent leurs propriétés intellectuelles. Je dis que cette plante appartient à toute la race humaine, et que les organisations avides doivent la laisser. Nous n’avons pas besoin d’une maladie comme le Sida pour réduire la population du monde. J’ai entendu dire que le Sida avait été créé spécifiquement pour détruire l’Afrique et maintenant, je le crois – après plus de cinq ans à m’être occupé de cette maladie.
Et je dis ceci. Je ne permettrai pas à l’Afrique, une nation mal comprise et mal représentée, un continent mal compris et mal représenté, de périr pour satisfaire les desseins des conspirateurs. Je dis que l’Afrique doit vivre, je dis que l’Inde doit vivre, que la Chine doit vivre, et que les Etats-Unis aussi doivent vivre. Il y a un espoir, une petite lueur d’espoir, un rayon vert d’espoir, qui émane d’Afrique du Sud, et j’en appelle à tous nos compagnons humains, à tous les êtres humains, à le faire grandir et à le répandre partout dans le monde. Je vous supplie à tous de vous souvenir qu’il fut un temps où la malaria dévastait des communautés entières partout au Moyen-Orient, partout en Afrique et ailleurs. Et il est apparu un petit rayon d’espoir en Amérique du Sud, qui a grandi et qui est devenu de plus en plus grand. Ce rayon d’espoir, c’était l’écorce de l’arbre Cinchona, la quinine. Et la quinine a sauvé des milliers de vies, qui seraient autrement tomber dans l’oubli.
Je dis que les gens ne devraient pas me considérer comme un charlatan ou un excentrique. Je suis un chercheur auto-didacte. Je suis un écrivain et mes livres se sont vendus dans le monde entier. Je suis un inventeur, un historien, et un guérisseur traditionnel. Et je dis à ceux qui ne me croient pas: « S’il-vous-plait, venez en Afrique du Sud et regardez vous-même cette plante. » Je dis que nulle organisation n’a le droit de s’approprier cette plante, aucune. Et je dis, espérons que l’espèce humaine sera éclairée par ce petit cadeau du Sud de l’Afrique pour le disséminer sur toute la planète.
Interview réalisé par Spectrum Magazine.